Friday, September 24, 2004

Au nom du pere

AU NOM DU PÈRE: La garde des enfants par le père : avantageux pour les mères .

La déloyauté sexuelle des femmes vide de sens le rôle des hommes dans la reproduction et réduit le rôle de la femme dans la reproduction à ce qu'il soit dans le ghetto matriarcal. La femme sexuellement déloyale perd son droit à être subventionnée par son mari dans le mariage. La femme sexuellement déloyale perd son droit à être subventionné par son ex-mari après le mariage. La femme sexuellement déloyale perd le droit à la garde des enfants.
Ces féministes supposent que le fait d’avoir consenti à une cérémonie de mariage donne le droit à la femme de s’approprier les enfants du mari, sa maison, ses meubles et appareils ménagers et ses revenus futurs parce que c’est elle qui a la garde des enfants. Et la loi lui donne raison. La loi agrée que le mariage est désormais vide de son sens original : la création de la famille patriarcale. Le but du mariage, sous le féminisme est de réduire en esclavage le mari et de restaurer le matriarcat.
Les féministes sont folles de joie à l’idée de la liberté des femmes de divorcer tout en demeurant subventionnées par leur ex-mari ou par l’État. Elles jouissent de leur liberté d’imposer le palier inférieur du matriarcat au palier supérieur du patriarcat – leur liberté d’exiger d’être subventionnées par le patriarcat – leur liberté de jouer la « Carte de la Sainte maternité » et d’interdire aux hommes de jouer leur « Carte monétaire ».
Mlle Weitzman estime que le divorce devrait profiter aux femmes out autant que le mariage. Ceci rend le divorce encore plus attirant pour les femmes. L'épouse peut ainsi se dire,
« Je n'ai pas besoin d'un mari puisque je peux le changer pour un ex-mari qui peut être contraint de me subventionner. Ma contribution, qui est d’avoir consenti à subir une cérémonie de mariage, est équivalente à sa cotisation qui est d’avoir acquis une éducation et d’avoir acquis un statut dans son domaine de travail. »
Ceci démontre que les enfants issus de famille monoparentales sont 2,21 fois (221%) plus susceptibles d’avoir un ou plusieurs problèmes sociaux que les enfants issus de familles à deux parents, deux fois (218%) plus susceptibles d’avoir les désordres émotifs précédemment mentionnés.
Les féministes ont une rationalisation, inlassablement répétée, pour ignorer de telles statistiques. Cette rationalisation est présentée par Lynette Triere:
« Les parents qui restent ensemble « à cause des enfants, » leur font subir la misère de leur vie commune, et ne rendent service à personne. C’est presque devenu un cliché que de constater que le divorce est meilleur pour les enfants que de continuer à vivre dans un mauvais mariage. » ( )
C’est là le cliché utilisé pour justifier la plupart des divorces. Le divorce n'est pas mieux pour les enfants; il est mieux pour la Mère, parce qu'il est accompagné de la garde des enfants par la mère, de généreuses pensions alimentaires et d’un transfert massif des « capitaux du mariage. »1 - IntroductionComment est crée le matriarcat contemporainLe ménage dirigée par la femelleLa nécessité de défendre le patriarcat
2 – L’argument de l’ivrogne chauffeur sécuritaire
La garde du père : avantageux pour les mères
C'est la supposée bonne volonté des mères d’accepter de sacrifier leur carrière au profit des enfants qui était la rationalisation traditionnelle justifiant la garde des enfants par celles-ci. La garde des enfants par le père permettrait aux mères de faire ce que les Sam Janus ( ) de ce monde nous affirment qu’elles veulent faire : accorder la priorité à leur carrière. La garde par la mère est un albatros pour les mères; c’est une des principales causes de la féminisation de la pauvreté.
Le mâle doit être en mesure d'offrir à une femme un avantage suffisant pour l'inciter à accepter la règlementation sexuelle nécessaire à la stabilité de la famille; il doit « s’installer dans un travail à long terme »; il doit devenir un pourvoyeur pour sa famille. En contrepartie, il doit recevoir la garantie de la société que, lorsque sa femme accepte cette réglementation sexuelle, en signant un contrat de mariage, que le respect des clauses de ce contrat de sera imposé par la société. Le système juridique n'a pas la responsabilité de créer la maternité; il est responsable de créer la paternité et de la soutenir. Le mouvement des droits des pères doit encourager les juges et les législateurs à comprendre cela. C’est la seule façon de rendre la contribution non-biologique du mâle au mariage équivalent à la contribution biologique de la femelle. C’est pour cela qu’existe le système légal. C’est la seule façon d’assurer aux hommes un mariage stable. C’est la seule façon de donner un sens au mariage.
La façon dont le mariage est vidé de sons sens – les moyens par lesquels est restauré le système de parenté femelle – est décrit par Mlle Faludi lorsqu’elle discute du mouvement anti-avortement:
« Au ressentiment croissant sur le progrès professionnel des femmes s’est mêlé une inquiétude concernant la liberté sexuelle des femmes. Liberté sexuelle que les femmes avaient commencé à exercer. Ils ont développé une rhétorique d'outrage puritain pour châtier leurs adversaires. »
« Pour le grand public, les porte-parole du mouvement anti-avortement qualifiaient les féministes de « tueuses d’enfants »; ils les accusaient de causer un « taux d'avortement à se casser le cou ». Mais plus révélateur est ce qu’ils disaient à voix basse : « putains » et « gouines » étaient peut-être leurs épithètes les plus symptomatiques. L'indépendance sexuelle, et non pas l’assassinat des foetus, était le plus grand crime des féministes … Le réel changement était la nouvelle capacité des femmes de contrôler leur fertilité sans danger ou crainte - une nouvelle liberté qui avait contribué à des changements dramatiques, non pas dans le taux d’avortement ( ), mais dans le comportement et les attitudes sexuelles des femmes. Après s’être d’abord assurée de la disponibilité massive de dispositifs contraceptifs et puis ensuite de l'option de l’avortement sécuritaire, les femmes étaient enfin libres d’avoir des relations sexuelles comme les hommes, à leur propre gré. » ( )
Les hommes dont elles parlent, qui ont des « rapports sexuels à leur propre gré » sont les nomades dénudés de George Gilder; le genre d’homme qui ont fait de l’Ouest (des USA) un pays sauvage et qui font régner la violence dans les ghettos. Mais les femmes qui ont « des rapports sexuels à leur propre gré » sont plus dangereuses que ces hommes et doivent être confinées aux marges de la société, comme elles étaient autrefois. Les négligences de ces femmes sont « compensées », comme nous le dit Melle Faludi, par leurs « comportements et attitudes sexuels » changés qui leur permettent de vivre « à leurs propres conditions », indépendamment d’une famille, et de ce fait mine le système masculin de parenté. Elle souhaite que ses lectrices et lecteurs supposent que la fidélité sexuelle d'une femme, plutôt que d'être sa contribution principale à son mariage, n’à pas plus d’importance que la fidélité sexuelle d'un homme.
Ceci est crucial. La contribution principale d’une femme au mariage est sa fidélité sexuelle, sans laquelle il ne peut pas y avoir de famille. La déloyauté sexuelle des femmes crée le matriarcat et les ghettos. Le patriarcat n’est possible que par l’acceptation par la femme de l’obligation de la chasteté, qui permet à l’homme d’avoir une famille. La demande féministe pour la « liberté sexuelle », pour le droit d’avoir des relations sexuelles comme les hommes, à leur propres conditions, détruit le pouvoir de négociation des femmes, détruit ce qui leur donne droit d’être protégées et pourvoyées par un homme. Les femmes sont des êtres dépendants qui ont besoin de maris. La demande des femmes d’être, soi-disant, financièrement indépendante des hommes ruine le système patriarcal et ramène la société vers le matriarcat. Melle Faludi en est très consciente :
« Les analystes en sondage de l’organisation Roper trouve que l’opposition des hommes à l’égalité est « la cause majeure de ressentiment et de stress » et une « irritation importante pour les femmes contemporaines. » Les femmes croient que c’est de justice pour leur genre sexuel, pas des anneaux de mariage ou des lits pour bébés, qui est en grand manque. »( )
Les femmes que Mlle Faludi célèbre, qui veulent des « relations sexuelles à leur propres gré » n’ont aucun pouvoir de négociation, parce qu’elles l'emploieront, comme le reconnaît Melle Faludi elle-même, pour miner le patriarcat et pour restaurer le matriarcat. Les « femmes étaient enfin libres, » dit elle, parfaitement inconsciente de la distinction entre bonnes et mauvaises femmes, entre femmes acceptant de donner une famille à un homme, et les femmes qui se marient dans l’expectative du divorce et de leur perpétuelle subvention par un futur ex-mari. « En conséquence, » continue elle,
« Un demi siècle après la légalisation du contrôle des naissances, les femmes ont doublé leurs taux d'activité sexuelle pré-maritale, qui, vers la fin des années 70, était presque égal au taux des hommes … En 1980, une enquête marquante sur la sexualité de 106,000 femmes menée par Cosmopolitan, a trouvé que 41% des femmes avaient eu des relations extra-maritales; elles n’étaient que 8% en 1948. »
C’est la fidélité des femmes au système masculin de parenté et à leur famille qui leur donne droit aux avantages conférés par le patriarcat aux bonnes femmes. La déloyauté sexuelle féminine que Melle Faludi préconise est incomparablement plus menaçante et dommageable pour la société civilisée que la déloyauté des hommes. La déloyauté sexuelle des femmes vide de sens le rôle des hommes dans la reproduction et réduit le rôle de la femme dans la reproduction à ce qu'il soit dans le ghetto matriarcal. La femme sexuellement déloyale perd son droit à être subventionnée par son mari dans le mariage. La femme sexuellement déloyale perd son droit à être subventionné par son ex-mari après le mariage. La femme sexuellement déloyale perd le droit à la garde des enfants.
Melle Faludi reprend l’argument de Lenore Weitzman concernant le droit de la femme à une part égale au « patrimoine familial. » Elle se plaint que les « juges interprètent volontairement mal les statuts juridiques pour juger que les femmes devraient obtenir, non pas une demie, mais seulement un tiers de tous les biens du mariage. » Elle cite la féministe Lenore Weitzman.
« Le concept « d’égalité » et le langage sexuellement neutre de la loi ont été utilisé avec vengeance par certains avocats et juges comme mandat pour un « traitement égalitaire »; une vengeance qui ne peut être expliqué que comme un « backlash » aux demandes des femmes pour l'égalité dans la société dans son ensemble. »( )
Tel que Melle Weitzman le dit ailleurs,
« Notre forme principale de richesses vient de notre investissement dans nous-mêmes – notre « capital humain » - et dans nos carrières. Ceci est vrai dans le mariage aussi. Les maris et les épouses investissent typiquement dans les carrières - plus particulièrement dans l'éducation et la carrière du mari - et les produits de tels investissements sont souvent les principaux capitaux d'une famille. Mais en dépit de l'idéologie du mariage comme association dans laquelle les deux associés partagent également dans les fruits de leur entreprise commune, la réalité du divorce est tout à fait différente. Quand vient le moment de diviser les capitaux de la famille, les cours ignorent souvent les capitaux de la « carrière du mari » - un terme que j’ai inventé pour décrire l’ensemble des biens tangibles et intangibles acquis comme élément de la carrière d'un conjoint. » ( )
Mlle Weitzman estime que le divorce devrait profiter aux femmes out autant que le mariage. Ceci rend le divorce encore plus attirant pour les femmes. L'épouse peut ainsi se dire,
« Je n'ai pas besoin d'un mari puisque je peux le changer pour un ex-mari qui peut être contraint de me subventionner. Ma contribution, qui est d’avoir consenti à subir une cérémonie de mariage, est équivalente à sa cotisation qui est d’avoir acquis une éducation et d’avoir acquis un statut dans son domaine de travail. »
La plaidoirie de Melle Weitzman est que les non-capitaux de l'épouse doivent être considérés comme capitaux, au moins aussi longtemps qu'elle pourra s'accrocher à « ses » enfants et imposer des demandes à son ex-mari en leur nom. Le plus grand capital d’une femme est d’avoir un mari. Le régime d’escroquerie des ex-maris, préconisé par Melle Weitzman, de récompenses punitives du divorce privera un grand nombre de femme de mari; les hommes effrayés par la perspective d’un tel divorce vont tout simplement éviter de se marier. ( )
Ces féministes supposent que le fait d’avoir consenti à une cérémonie de mariage donne le droit à la femme de s’approprier les enfants du mari, sa maison, ses meubles et appareils ménagers et ses revenus futurs parce que c’est elle qui a la garde des enfants. Et la loi lui donne raison. La loi agrée que le mariage est désormais vide de son sens original : la création de la famille patriarcale. Le but du mariage, sous le féminisme est de réduire en esclavage le mari et de restaurer le matriarcat.
Melle Weitzman veut nous faire croire que la capacité du mari de gagner de l’argent fut rendue possible par les services que son ex-épouse lui a rendus. Si cela était vrai, le retrait de ces matrimoniaux désavantagerait le mari tout autant que ces services l’avantageaient autrefois - particulièrement si le retrait des services de l’épouse est accompagné de la privation de ses enfants, qui du point de vue du mari sont les « principaux biens du mariage ». En fait, ce que Melle Weitzman appelle les capitaux du mariage sont les biens du mari. Ce sont les avantages de ces mêmes biens que le mâle a du offrir à sa future femme pour la convaincre de l’épouser.
Les responsabilités du mariage doivent être discutées en même temps que les biens du mariage. La demande de Melles Faludi et Weitzman de donner à l'ex-épouse le privilège de démotiver son ex-mari par sa prétention de partager ses « biens » indépendamment du mariage transforme son capital fondamental, sa motivation, en une responsabilité, tout en perpétuant la dépendance de son ex-femme envers lui. Ce qui est exactement le contraire du but original du féminisme : les femmes avaient le devoir de se tenir debout, sur leurs propres pieds, « sans privilège ou excuse sexuelle ». C’est ce que prétendait Betty Friedan, en tout cas.
Les ex-épouses et leurs avocats ont le privilège de « victimiser » les employeurs des ex-maris tout autant que les ex-maris eux-mêmes. Le Los Angeles Times, du 27 août 1985, rapporte le règlement, à l'amiable, de $24,000, d'un employeur qui avait congédié un ex-mari dont il avait reçu l’ordre de retenir les revenus à la source :
« Allred (une avocate féministe) a affirmé qu’un ordre de la cour, fait alors que la cause était encore en suspens, donne le droit aux ex-conjointes et à leurs enfants de poursuivre les compagnies qui mettent à la porte le pourvoyeur de la famille. Ceci servira d'avertissement aux employeurs; la loi d'évaluation du salaire a été votée pour la protection des enfants. »
De tels jugements ne feront que rendre les ex-maris moins employables. Être un pourvoyeur rendait autrefois un homme plus employable, parce qu'il était plus fortement motivé. Les pères, comme celui cité plus haut, vont trouvés que de telles exigences des mères sur les « capitaux de leur mariage » vont les rendre moins employables. Ce seront les enfants que en seront les victimes. Les « capitaux du mariage » de l’ex-épouse (sa capacité de poursuivre en loi l’employeur de son ex-mari) sont des « capitaux négatifs » qui, dans l'intérêt d’une réelle justice, devraient être partagés par l'épouse.
Les capitaux principaux de l'épouse, par lesquels elle rend son mari débiteur envers elle sont sa fidélité sexuelle, qui garantit au mari qu'il a une famille et des enfants légitimes. Le divorce, si l'épouse obtient la garde des enfants, le prive de cette garantie. Ce divorce prive donc l'ex-épouse de ses réclamations envers le mari, puisqu’elle le prive rétroactivement de la sécurité qu’il croyait avoir avant son divorce. Le divorce lui prouve qu'il n’avait jamais vraiment joui de cette sécurité, pour laquelle il avait régulièrement payé. Cela est tout comme une police d'assurances offerte par une compagnie frauduleuse qui n’avait jamais l’intention de payer les bénéfices promis. Cette compagnie avait cependant accepté pendant des années des primes mensuelles en échange d’une promesse vide. Une épouse signe un contrat de mariage pour la vie, promettant au mari une progéniture inaliénable. Puis, à la suite du bris unilatéral de contrat par sa femme, le mari perd ses capitaux les plus importants, ses enfants. Pire, il se voit exproprié de ses revenus par son ex-femme parce qu’ils lui sont nécessaire pour l’entretien des enfants qu’elle a kidnappés.
La contribution principale du mari au mariage est irrévocable. Sa contribution ne peut lui être enlevé rétroactivement: il a supporté son épouse, payée ses factures, lui a donné une maison, a élevée son niveau de vie de 73 pour cent. ( ) Mais la contribution principale de l'épouse au mariage, le cadeau d'une famille, est rétroactivement enlevée dans plus de la moitié des mariages; tous les autres vivent sous la menace d’un tel divorce. L’épouse n’a jamais vraiment donné une famille à son mari; ce qui était le quid pro quo de son soutien. Le mari découvre à la cour de divorce que ce qu’il l’avait motivé à se marier et à travailler pendant les années du mariage n'avait jamais eu une existence permanente et que – ce n’était pas vraiment un cadeau - mais seulement un prêt, garantit par la seule promesse d'une femme. Il découvre que la loi qui, croyait-il, est sensé imposer le respect des contrats, interprète le contrat le plus fondamental comme ne liant pas son épouse, ne l’obligeant que lui seul. La loi considère donc juste de le priver de sa possession la plus précieuse, ses enfants, probablement aussi de sa maison et de ses futurs revenus.
Une société qui désire demeurer civilisée doit motiver ses hommes à devenir des pourvoyeurs pour leurs familles; autrement elle se transformera en matriarcat. Le taux de divorce, allié à la garde par la mère enseigne aux hommes qu'ils ne peuvent pas se fier au mariage. Selon David Hartman, puisque
« vous obtenez moins de ce que vous taxez et plus de ce que vous subventionnez, le pourcentage d’individus vivant dans des familles traditionnelles décline de façon continue et alarmante, alors que les « styles de vie alternatifs » subventionnés par le gouvernement prolifèrent... Le mariage a sévèrement diminué, tombant des trois quarts des ménages en 1960 à légèrement plus de la moitié de tous les ménages en 1994. » ( )
Les féministes sont folles de joie à l’idée de la liberté des femmes de divorcer tout en demeurant subventionnées par leur ex-mari ou par l’État. Elles jouissent de leur liberté d’imposer le palier inférieur du matriarcat au palier supérieur du patriarcat – leur liberté d’exiger d’être subventionnées par le patriarcat – leur liberté de jouer la « Carte de la Sainte maternité » et d’interdire aux hommes de jouer leur « Carte monétaire ».
Une publication canadienne « Everyman : A Men’s Journal » ( ) (Chaque homme : Un journal pour hommes) nous fournit l'information suivante sur le palier inférieur du matriarcat :
« Que savons nous sur les enfants des familles monoparentales dirigées par la mère? »
Taux de problèmes chez les enfants de familles monoparentales vs. familles avec deux parents (%)
PROBLÈMES MONOPARENTALES DEUX PARENTS PROBABILITÉS
Hyperactivité 15,6 9,6 1,74Mauvaise conduite 17,2 8,1 2,36Désordres émotifs 15,0 7,5 2,18Problèmes de comportements 31,7 18,7 2,02Année scolaire répétée 11,2 4,7 2,56Problèmes à l'école 5,8 2,7 2,22Inadaptation sociale 6,1 2,5 2,53Problèmes sociaux 40,6 23,6 2,21
Ceci démontre que les enfants issus de famille monoparentales sont 2,21 fois (221%) plus susceptibles d’avoir un ou plusieurs problèmes sociaux que les enfants issus de familles à deux parents, deux fois (218%) plus susceptibles d’avoir les désordres émotifs précédemment mentionnés.
Les féministes ont une rationalisation, inlassablement répétée, pour ignorer de telles statistiques. Cette rationalisation est présentée par Lynette Triere:
« Les parents qui restent ensemble « à cause des enfants, » leur font subir la misère de leur vie commune, et ne rendent service à personne. C’est presque devenu un cliché que de constater que le divorce est meilleur pour les enfants que de continuer à vivre dans un mauvais mariage. » ( )
C’est là le cliché utilisé pour justifier la plupart des divorces. Le divorce n'est pas mieux pour les enfants; il est mieux pour la Mère, parce qu'il est accompagné de la garde des enfants par la mère, de généreuses pensions alimentaires et d’un transfert massif des « capitaux du mariage. » Les psychologues Wallerstein et Blakeslee savent pertinemment que le divorce n'est pas mieux pour les enfants (voir aussi la page 91). Le Dr. Rex Forehand, de l'université de la Géorgie le sait aussi :
« Les enfants dans les familles impliquées dans des divorces acrimonieux se portent considérablement plus mal que les enfants vivant dans des maisons où leur mère et leur père se disputent constamment. » ( )
Les préjugés anti-mâles des cours de la famille est la raison principale pour laquelle la plupart des divorces sont initiés par les épouses, pourquoi elles peuvent dire que « l’époque de la femme entretenue est terminée », qu’elles peuvent dire que les « parents qui restent ensemble dans une relation malheureuse le font pour enseigner aux enfants qu'ils n'ont aucune option dans la vie, » pourquoi elles peuvent affirmer « je dois le faire pour MOI », pourquoi elles peuvent déclarer qu’une femme devrait se « faire passer avant TOUT. » ( )
Le corollaire implicite - de cette mentalité féministe – rarement exprimée, est que les pères doivent être des « bon gars » et simplement TOUT donner à la Mère dans le « meilleur intérêt des enfants »; alors que les mères ne sont nullement obligées de faire la même chose. Il y a bien un minuscule nombre, tout symbolique, de mères obligées de verser une minuscule pension aux pères ayant la garde de leurs enfants. Les sommes sont petites et le taux de délinquance est presque le double des supposé pères « deadbeats. » Ces mères « deadbeats » suivent le conseil de Melle Triere : elles « s’occupent d’elles mêmes » et se « font passer avant TOUT. » C’est ce qui explique pourquoi la plupart des divorces sont initiés par les épouses; c’est ce qui explique pourquoi il y a de plus en plus de millions d’hommes qui ont perdu tout intérêt à l’idée du mariage et pourquoi il y a des légions de femmes qui se demandent pourquoi les « hommes ont PEUR de s’engager. »
Une partie du rôle du père est de socialiser ses fils à devenir pères eux-mêmes lorsqu’ils deviendront adultes. Est-ce que les fils de Marcia Clark ( ), qui furent privés de leur père par leur mère, est-ce que les fils de la riche lesbienne féministe, Adrienne Rich, privés de leur père par celle-ci, est-ce que les dizaines de millions d'autres fils privés de leur père apprendront comment devenir père? Ou penseront-ils au père comme les féministes les encouragent à le faire, comme d’un vieux reste du système patriarcal juste bon à jeter aux poubelles de l’histoire? Ces fils souhaiteront-ils vivre le genre de vie que leur père a vécu : celui d’avoir une famille provisoire, suivi par leur exil forcé et des paiements non provisoires de pensions alimentaires? La féministe Triere donne la réponse féministe pour toutes les Mères;
« Il n’y a aucune raison pour qu’une femme soit enchaînée pendant toute une vie à un choix qu’elle a fait à l'âge de dix-huit, vingt-quatre, ou trente-trois ou même quarante et un ans. Ce n’est pas une demande raisonnable. La liberté est importante pour les femmes. Il y a joie dans la liberté... Une femme devrait prendre sérieusement le truisme philosophique qui lui dit qu’elle est dotée de certains droits inaliénables, et que parmi ceux-ci il y a la vie, la liberté et la recherche du bonheur. Pour beaucoup de femmes, l'acte de quitter est une réelle Déclaration d'indépendance. » ( )
Une femme peut corriger un mauvais choix. Quelle chanceuse! L'homme lui ne le peut pas. Son choix d’être pourvoyeur est irrévocable. Sans compter qu’il jouit de la « liberté » de se voir déposséder de ses enfants et de sa propriété. Sans cette « liberté » du mâle, la femme se verrait interdire son indépendance, sa « joie dans la liberté, » et son « droit de se tenir debout sur ses propres pieds sans excuse ni favoritisme sexuelles », financés par son ex-mari.
Si le mâle n'a aucune « Carte monétaire », ou si la femelle pense que l’argent du mâle ne vaut pas la peine de se soumettre à la règlementation sexuelle, ou si elle peut lui confisquer son argent, ou s’en approprier suffisamment sans avoir à se soumettre à la règlementation sexuelle, ou si elle peut s’attribuer d’assez d'argent payé par les contribuable pour se garder à flot et pour subventionner sa promiscuité sexuelle, le mâle peut oublier son désir d’avoir une famille. Le résultat sera le matriarcat : le système de parenté femelle.
Une femme qui désire son indépendance sexuelle peut penser, comme le pense une amie de la féministe Natalie Gittelson:
« Lily, l’aimable hôtesse a donné le ton à la journée. Tout près d’une séparation d’avec son mari … Lily dit sèchement « En ce moment, je suis libre comme un oiseau. Un petit adultère par ici ou par là. » Elle se mit à rire. « Il n’y a pas de différence. Je ne suis pas émotivement engagée. » ( )
Ou comme le pense la féministe Linda Hirschman:
« Ils forcent des femmes au mariage avec des pressions sociales telles que le retrait de l’assistance sociale. » ( )
En d’autres mots la mendicité de l’assistance sociale est préférable au mariage. C’est là le « ID » qui parle ( ) exigeant l'absence de responsabilité et de réglementation. Peu importe le coût, surtout le coût imposé au mari, aux enfants ou aux contribuables. L’économique parle aussi. Plus la femme est économiquement indépendante, plus elle est encline au divorce; si elle est économique indépendante elle n'a pas besoin d'un homme, et ils le savent tous les deux – sauf que la supposée indépendance de la femme ressemble comme une sosie à sa dépendance envers l’argent de l’ex-mari. La loi de Briffault entre en jeu. Elle ne veut pas être engagée envers lui; elle veut être économiquement et donc sexuellement indépendante – ou indirectement dépendante, mais sans responsabilité ou fidélité réciproque.
Voilà pourquoi elles peuvent dire « je ne veux pas vivre le genre de vie qu’a mené ma mère », pourquoi elle disent que la « libre disposition de sa propre personne est un droit fondamental d’une société matriarcale, » ( ), pourquoi elles peuvent dire : « Nous sommes attirées, comme le furent de tout temps les femmes, par la possibilité de célébrer notre sexualité sans l’intensité exclusive de l'amour romantique, sans la déception inévitable de la sexualité centrée sur le mâle et sans punitions. » Voila pourquoi elles parlent du « droit des femmes de contrôler leur propre corps et processus de reproduction comme un droit humain et civil inaliénable, qui ne peut être nié, ni abrogé par quiconque, individu ou état, » ( ) pourquoi elle rejette le GRAND MAL, la « tyrannie de monopole sexuel » ( ), pourquoi elle rejette l’association entre sexualité et mâle et la règlementation sexuelle qui rend possible la famille à deux parents.
Il vaut mieux que l’homme parte, volontairement ou pas, et continue à lui acquitter sa pension alimentaire. Les juges comprennent eux.
Voila ce qu’est le féminisme : l’indépendance reproductrice des femmes – le matriarcat – ce qui veut dire la destruction de la famille à deux parents, la destruction de la paternité par un taux de divorce de 60% et un taux d’illégitimité de 30 %. ( ) Libres! ENFIN libres!
Les hommes ne se sont pas encore réveillés à ce que cela veut dire pour eux et leurs enfants – un changement du système de parenté basé sur le droit du père par celui basé sur le droit de la mère, un retour à la situation de l’Âge de pierre, où sous le culte de la Déesse, comme en Crête,
« l’accent mis, de façon naturelle et courageuse, sur la vie sexuelle fonctionnait durant toutes cérémonies religieuses. Ceci était rendu évident dans les vêtements sexuellement provocateurs portés par les deux sexes, qui se mêlaient aisément. »
Melle Friedan pensait que la « société demande tellement peu aux femmes. » Pourquoi l’insignifiance du services des femmes est il récompensé non pas par le mari qui bénéficie de ce « petit peu », mais par l'ex-mari qui en est privé? ( ) Mlle Hewlett cite un rapport d’une Commission britannique sur la loi:
« La société n'a aucun intérêt spécial à maintenir de façon permanente la coquille légale d'un mariage qui a échoué; le rôle de la loi, dans ces cas, est de contrôler le processus de dissolution avec le moindre coût humain. » ( )
Le moindre coût pour la Mère. Le coût pour la Mère est réduit au maximum en augmentant le coût imposé au Père. Ceci est rationalisé par le privilège de la mère de réduire ses enfants en « Mendiants mutilés » ( ) et de faire appel à la magnanimité du public en leur nom. Le juge présume qu’il n’y a aucun coût pour la société. Mais le coût principal, sans compter la douleur des enfants et du père, est la destruction de la motivation masculine requise pour pourvoyer à une famille. Les Commissaires britanniques de la loi considèrent que le « vrai mariage » est les liens émotifs qui unissent un homme et une femme. Ils considèrent que le contrat de mariage n’est qu’un morceau de papier, une « coquille légale. »
Ceci illustre la différence fondamentale entre le mariage dans le système matriarcal et celui du système patriarcal. Dans le système matriarcal, nous dit Marilyn French, les rapports sont « occasionnels et sans cérémonie, » comme à l’Âge de pierre. L'âge patriarcal, postérieur à l’Âge de pierre, a rendu la paternité non occasionnelle et avec cérémonie. Il a également rendu la paternité aussi importante que la maternité et tout aussi responsable. Le système légal contemporain fonctionne à plein gaz pour reconstituer le système de l’Âge de pierre, pour re-marginaliser les maris conformément au programme féministe; au point de laisser une femme avoir des enfants sans qu’ils aient un père. En réduisant le contrat de mariage à une coquille juridique vide nous retournons vite à la société de l’Âge de pierre, puisque que tel que nous l’indique Robertson Smith, un manque de « stabilité dans le lien matrimonial favorisera le système de parentalité femelle. » ( )
La société civilisée doit être un « monde d’homme » puisque le monde de la femme est le ghetto. Mais la loi travaille maintenant à détruire le monde des hommes en détruisant la motivation et le rôle du père, en informant la mère qu'elle est autorisée à rejeter le mariage lorsque bon lui semble; la loi s’empressera de réduire au minimum les dommages pour elle, puisque la loi lui accordera la garde des enfants, pensions alimentaires et transfert des biens du mari.
Durant les premières années du mouvement féministe, c’était un lieu commun de la propagande féministe d’affirmer que la destruction de la constitution sexuelle patriarcale et l’abandon de la socialisation des rôles sexuels sur laquelle elle est basée libérerait non seulement les femmes mais également les hommes en se débarrassant du stéréotype de la femme parasite de son mari.
Le féminisme, nous affirmait elle, allait transformer les femmes; la femme cesserait de « vampiriser son mari » ( ) – ce même mari conduit à une mort précoce de sept ans par le parasitisme de sa femme. Betty Friedan nous disait : « Le faire de nous-mêmes, est l’essence du mouvement des femmes: cela nous maintiendra honnêtes, nous gardera vraies, nous tiendra concrètes. » Elles n'essayeraient plus de gagner leur existence en étant des épouses poupées. Elles se tiendraient debout sur leurs propres pieds.
Sauf, que, naturellement, elles mentaient. Elles prévoient toujours des pensions alimentaires pour elles mêmes et pour leurs enfants qui viennent avec la garde par la mère. Comment pourraient-elles, autrement, se tenir debout sur leurs propres pieds? Sans l’argent de l’ex-mari?
3 – La guerre contre le patriarcatLa sexualité sans significationGhettos et promiscuitéAutres masqueLa femme entretenueLe cas HetheringtonLa fête du samedi soir4 – La Mystique féminine et sa suite Le donneur de sperme primaireStella PaytonClamer le victimismeLe conflit des systèmes de parentalitéé5 – L’Asherah6 – Reconstitution de la parentalité féminine7 – La création du patriarcatL’irréconcibialité des deux systèmes de parentalitéLe mariage : une institution économique8 – Le double standard9 – La violence faite aux enfantsFoetilisation et hérédité socialeReptiles, mammifères et humains10 – Familles alternativesDe retour vers la Reine Victoria11 – ExogamieLe système masculin de parentalité« Vivre avec Papa »Les dames de BirminghamAdrienne Rich et le Président ClintonGarder secret la paternité ?Réforme de l’assistance socialeÉquilibre des sexes : trop peu de femmesLe Fond pour l’éducation d’Arthur12 – Le contrat socialLa carte monétaire13 – Le divorce sans faute14 – Domination Vs. PartenariatLa signification de la sexualitéLa proposition fiscale de Carlson-Blankenhorn15 – Redéfinir la familleLe système de partenariat16 – Pension alimentaire et soutien à l’enfantTraitement inique du mari, expulsé de sa maisonSoutien à l’enfantImposition du soutien à l’enfantVilains séducteurs mâles17 – Libre comme les noirs« De la vénération au viol »Le Crétois et autres matriarcats18 – Pays violent19 - HypergamieLe cadeau du patriarcat : le mariage stableLe patriarcat avantageux pour les femmesUn garçon écoute20 – « Gangbanging » et illégitimitéPères et petits amisLa guerre entres les deux systèmes de parentalité21 – Maternité marginaleLa garde du père : rien de nouveauAnnexes
La garde du père : avantageux pour les mères
dans
AU NOM DU PÈRE :Plaidoyer en faveur de la garde des enfants par le père
par
Daniel Amneus Ph.D.
traduit par Gérard Pierre LEVESQUE
(L’original “THE CASE FOR FATHER CUSTODY” est à http://christianparty.net/tcffc.htm) LA LOI DE BRIFFAULT :
« La femelle, non pas le mâle, détermine toutes les conditions de la famille animale. Là où la femelle ne peut trouver aucun avantage d’une association avec le mâle, aucune association n’a lieu. »
-- Robert Briffault